Borglut Physique :Etant un nain de pure souche, Borglut est de petite taille, même s’il s’avère qu’il est plus grand que ses congénères. Il porte une longue barbe brune ainsi que des longs cheveux de la même couleur. Tout comme ses yeux marrons, son visage est très expressif et démontre toute sa détermination. Son corps trapu est très musclé et offre à Borglut le statut de nain très costaud. Sur le plan vestimentaire, Borglut est un nain très simple et ne cherche pas à avoir la grande garde robe nanique du monde de Wow. En d’autres termes, il n’est pas très branché sur la mode. Néanmoins, il porte sur lui et en permanence une cotte de maille ainsi que des pulls noirs ou bleus foncés. En matière de pantalon, il est très strict, c’est-à-dire qu’il ne porte que des pantalons bruns. En porter un d’une autre couleur signifierait la honte et le déshonneur pour Borglut, même si cette excentricité n’a aucune explication logique. Il existe pourtant une exception : si les caractéristiques de cet ornement vestimentaire répondent à ses attentes, ce qui est beaucoup plus logique. Pour marcher les parcours montagneux de sa région, il utilise des bottes dont la couleur change selon les saisons et les levels. Autour de son cou, il arbore une chaîne taillée dans le métal et doté d’une gravure portant le symbole de sa mine. Certains de ses congénères prétendraient qu’il s’est fait tatouer le blason de sa guilde sur les fesses après une soirée arrosée, mais difficile à vérifier surtout si Borglut à une hache entre les mains.
Mental :En toute circonstance, Borglut adore user l’humour nanique, en particulier des blagues absurdes sur les elfes qui le sont tout autant. Il adore aussi d’aller boire d’une manière déraisonnable, de la bière à l’auberge et d’assister à de grandes fêtes naniques. Parfois sous ses airs champêtres, il peut piquer d’énormes colères pour quelques raisons que ce soit. Pour prouver sa valeur, il avoue un certain plaisir à démontrer sa force. Il déteste les intellectuels qui usent trop de leurs savoirs, ce que Borglut prend pour une tentative de tromperie. Misogyne de surcroît, il éprouve de la réticence envers la gente féminine puisqu’il ne comprend rien à leur délicatesse et à leur charme. Pour lui, elles sont beaucoup trop bruyantes et trop capricieuses, et de plus elles compliquent les situations les plus simples. A noter qu’il fut très choqué par la première femme de sa vie, c’est-à-dire sa mère Hegeurla. C’est donc un gros mâle macho, un pur, un dur. Il n’est pas besoin d’ajouter qu’il est célibataire. (T.O. : A la demande insistante de Borglut, je dois signaler aux autres joueurs que Borglut n’est pas « gai »). Doté d’une logique qui lui est propre, c’est-à-dire un esprit très irrationnel, il a tendance dans n’importe qu’elle situation à opter pour la solution la plus étrange. Par contre, on peut dire qu’on peut compter sur lui pour accomplir une tâche, sauf si elle est ménagère, et qu’il affiche une témérité à toute épreuve. Finalement, il peut s’avérer être un excellent compagnon de route.
Arme :Pour les nombreux combats qu’il aspire à rencontrer, il utilise une hache nanique à deux mains forgée par son père. Ornée de toutes sortes de subtilités décoratives, elle est hachement puissante et tranchante, et c’est tout ce qui compte pour Borglut. Cette hache fut offerte par son père pour marquer son passage à l’âge adulte. Elle est donc très précieuse aux yeux de Borglut.
Philosophie : Aller où la baston sera.
Histoire : Né dans les profondeurs du Royaume des Nains, j’étais l’heureuse progéniture de mon père, Talirm, et de ma mère, Hegeurla. Mon paternel était un forgeron doté d’une bonne réputation, qui pratiquait son métier à longueur de journée dans la mine de l’Immersia dans la région de Dun Morogh. Même si j’éprouvais beaucoup de respect à l’égard de mon père, j’estimais qu’il adoptait parfois un comportement de soumission, ce qui est à l’opposé de ma conception philosophique. Ma chère mère, si on peut la nommer de cette façon, est la fille de l’illustre Kelmir, grand guerrier nanique connu dans toute la région. Autoritaire, elle est une terreur pour son pauvre mari ainsi que pour toute la communauté. Il faut dire qu’elle a un caractère aussi tranchant que le katana d’un samurai. Cependant, je n’étais pas seul dans la famille. En effet, j’avais un jeune frère, nommé Trëlgor, un pleutre de première classe. Même si le couple prêtait plutôt à rire, mes parents faisaient partie de l’élite de la classe naine.
Pendant mon enfance, je passai le plus clair de mon temps à errer dans les galeries de la mine de l’Immersia. C’était une mine naine ordinaire dont l’activité principale se limitait à la recherche de pierres précieuses et de les marchander par la suite, des pièces d’or quoi ! Pourtant, mon enfance n’était pas des plus heureuses puisque je ne possédais aucun ami. Mon caractère particulier suffisait à faire fuir tout esprit amical. De temps à autre, une fille venait me courir après, mais celle-ci me faisait peur. Il faut dire qu’elle était aussi gracieuse qu’un gobelin en état de putréfaction.
Ensuite vint le moment de l’adolescence, instant où tout nain doit trouver sa voie. Mon père voulait que je m’investisse dans la forge familiale, tout ceci bien sur sans que ma mère ne le sache. Alors, il me donna des cours en cachette, souvent le soir. Seulement, je n’étais pas doué pour cet art qui demande beaucoup de minutie et davantage de patience. C’est alors à mon faible frère que mon père enseigna son savoir et pour qu’il devienne la continuité de la forge familiale. Par contre, ma mère voulait que je suive la lignée de son illustre famille et que je réitère le parcours de son père, et je dus alors me plier à sa volonté, même si cette optique de mon avenir m’agréait davantage. Pendant la journée, je m’entraînais donc énormément pour devenir un guerrier digne de ce nom, et ce avec d’autres élus de mon rang. Quand le temps lui en donnait l’occasion, mon grand-père, Kelmir, venait me voir et me distillait quelques cours particuliers. Cela consistait à peu de théorie et à beaucoup de pratique, chouette programme, même si cela était douloureux. Lors de mon apprentissage du métier, on m’utilisait comme garde ou autres afin de me préserver des combats les plus intenses. Cela me frustrait énormément, car je ne pouvais prouver ma valeur envers ma race. De plus, cette protection, bonne pour les enfants gâtés, m’apparaissait insupportable. Peu à peu, je participais aux missions dites plus à risques où je pouvais affirmer ma férocité. Seulement, la mine avait peu d’ennemis, et donc peu d’activités guerrières se profilaient à ma rencontre. Par conséquent, j’essayais de plus en plus me faire engager, pendant une durée déterminée, comme combattant par des gens de tous bords. Ma vie se résumait qu’au combat et à l’aventure.
Un jour, je dus rendre service à mon oncle Zilgli. Ce dernier était un grand marchand connu dans la région. Il avait élu domicile dans la montagne de l’Eternia dans la région de Loch Modan, à proximité des Terres Ingrates. Sa notoriété pouvait attirer la convoitise, et il avait, par conséquent, besoin lors des échanges d’un garde du corps, si ceux-ci étaient houleux. Après une transaction effectuée avec un « grand » marchand du pays des Gnomes, je remarquai grâce à mon expérience que nous étions observés. En compagnie de mon oncle, j’essayai de semer ces curieux. A un moment donné, aux abords d’une clairière, le piège se referma sur nous. De nombreux troggs attaquèrent de toutes parts et un combat sanglant s’en suivit. Par miracle, je survécus à cet assaut, et pus m’échapper de l’air de combat. Malheureusement, mon oncle succomba à ses blessures et son âme rejoignit celles de ses ancêtres. Suite à cet incident, j’errais dans le monde de Wow comme un corps sans âme, comme une hache sans lame. Je n’osais plus retourner dans le Royaume des Nains à cause du déshonneur de la défaite et des explications que j’aurais à fournir. J’avais honte de cette situation. En ce moment, la communauté de l’Immersia doit sûrement me prendre pour mort ou disparu à jamais. En ce jour, j’ai besoin de nouveaux défis et de nouvelles victoires à la sueur de ma hache pour retrouver le lustre d’antan.
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Présentation HRPHello everybody !!!
Je m’appelle Maurice… ah merde, on vous l’a déjà faite, de toute façon, on ne m’appelle pas, on m’implore. J’ai 23 ans et je suis sans emploi en ce moment. Je suis mis à Wow pour combler mes heures d’ennuis, et puis comme Seishi était sur Darluok, je me suis dit pourquoi pas, bien que je ne comprenne rien au langage des gamers. Mais l’argument le plus prépondérant fut de pouvoir jouer un nain, race à la pointe du raffinement et des mondanités. Dans la vie de tous les jours, je suis amené à rencontrer Seishi (ou à l’éviter lorsqu’il est trop exalté ^^). Par conséquent, vous en concluez que je vis en Belgique une fois. Haut fait dans ma vie trépidante, je suis le fondateur ou le créateur, appelez cela comme vous voulez, de la Maurice Attitude, d’ailleurs Seishi est un membre permanent du Grand Conseil des Maurices.
Mes passions sont multiples : mes amis (dont Seishi, ce sont des Marcels en puissance), le jdr, le sport (si c’est compatible), l’histoire, le cinéma asiatique, un peu les mangas et les animes. Je voue un culte pour Mai Hime, Ichigo 100% et Nicky Larson (City Hunter). J’aurais peut être pas dû le dire, après on va me prendre pour un pervers. Bernard Minet est mon père spirituel. J’aime aussi la musique, je suis plutôt rock/metal. L’album que j’écoute en ce moment est Metal Box de Ra:IN.
Enfin pour terminer, je dirai que sous mes airs des Jeanlucistes effrontés, je peux parfois faire peur. Contrairement à certains que je connais très bien, ce n’est pas permanent. Mwouhahahaha…
Voilà, vous en savez plus sur Borglut et moi, et j’espère que cela vous a plu.